Addictions et soins : témoignage

Le mardi 8 décembre 2020 à Saint-Bômer les Forges 61700

Au travers de cet écrit je souhaite apporter mon témoignage dans la revue SaNg d’EnCRe. Je témoigne aujourd’hui sur les médecines alternatives pour traiter de la dépendance et des problèmes d’addiction. Je vais brièvement exposer ma situation. Puis détailler les pratiques que j’ai pu tester. Ceci est mon expérience personnelle, peut-être que d’autres auront un autre ressenti. Certaines techniques et propos pourront paraître « perchés » mais ils sont ainsi.

Cette année pendant le 1er confinement j’ai baissé mon dosage puis j’ai eu un jour des palpitations cardiaques. J’ai eu très peur. A bout de force je me suis rendue à la Timone pour demander de l’aide. Je me suis retrouvée en urgence psy pour faire la transition métha en gélules. J’étais totalement sous-dosée. Après 3 jours de calvaire je suis rentrée à nouveau dans mon enfer du skénan ! La métha est bien trop forte pour moi car il faut prendre une grosse dose qui se dilue petit à petit. Je ne suis absolument plus en recherche de sensations. Je veux juste être normale. J’ai fait un gros travail sur moi et sur ma dépendance que j’ai comprise, décortiquée, analysée. Je subis cette addiction comme un châtiment. Malgré ma grande volonté impossible de manœuvrer.

Marie Passarelli

Je cherche de l’aide aujourd’hui pour retrouver le calme dans mon corps. Je n’ai plus de repos depuis des mois, car je ne sais jamais quand et comment viendra ma prochaine crise de manque. Je ne veux pas remonter mes prises même si aujourd’hui je suis à 9 prises de 30 mg jour. Je ne peux rien faire, rien prévoir, j’ai très honte de cette situation. Je n’ose même pas avaler mon skénan car quand je le fais au niveau digestif ça me fatigue. Et par peur de me déstabiliser dans mon équilibre précaire. Subir un sevrage est pour le moment pas encore envisageable car je ne suis pas assez forte pour faire subir ça à mon corps et mon esprit. Car malade depuis 2016 je me remets à peine et je peux enfin m’alimenter, dormir, marcher. Le mieux pour le moment serait un traitement oral qui tienne quelques heures sans me mettre la tête et le ventre à l’envers. Si je change de traitement j’aurai besoin d’être suivie car j’ai très peur.

Je m’appelle Audrey je suis née en 1977 à Marseille.
J’aime la vie, les belles choses. Mais depuis toujours dans ma poitrine une douleur est présente. Parfois elle se fait ressentir et un cri m’échappe. Cette douleur me dit tu n’es pas aussi bien que les autres. Elle n’est pas positive. Elle a fait en sorte que ma vie ne soit pas sur un beau chemin mais sur un chemin sombre. Puis à 14 ans je rencontre Madame H directement pour ma 1ère fois. Et là, formidable, je suis enfin enveloppée d’une grande chaleur, ma douleur se tait, mon esprit est enfin au calme là-haut. Le paradis ! Je recommence à l’infini. Dans des conditions sordides, parmi les dingues et paumés de la cour des miracles de Marseille, de Paris. A Paris ils sont encore plus extrêmes dans leurs pratiques. Je consomme beaucoup de médicaments faute de moyens.
Après une première partie de vie compliquée.

Marie Passarelli

J’entame ma deuxième partie de vie je suis maman. Et tant que je suis connectée à mes enfants tout va bien. Chaque être qui s’incarne sur terre a déjà ses problèmes personnels donc aucunement besoin que les parents apportent encore des traumatismes supplémentaires à leurs enfants. Nous sommes extrêmement vigilants sur ce point. Je cache bien entendu ma douleur et ma situation.

Puis ma 3ème vie arrive en 2013. Les enfants ados vaquent à leurs occupations. Moi je me réfugie dans le travail. J’ai une mutation, une réorganisation dans mon entreprise et puis burn-out ! Je déclenche deux hernies discales et je traîne une hépatite C depuis ma 1ère fois. Je fais des démarches pour sortir de cet état. On me propose de tester le nouveau traitement pour l’hépatite. Je suis rapidement guérie. Mais après cela ne va pas bien, je tombe dans des problèmes d’insomnie, alimentaires, je suis déprimée. Ma vie est en miettes. Suivie par un psy et vu que le subu ne me fait plus rien je demande du skénan. Et là miracle plus de douleurs au dos alors que le matin au réveil je ne peux même pas marcher. Je dors la nuit comme un bébé. Quand j’ai de mauvaises nouvelles et que je fais une crise de larmes le skénan arrête cela (par contre ça pique les yeux le skénan quand on pleure). Je suis malade officiellement. Je décide de sortir de cet état nous sommes en 2018.

Je quitte Marseille pour la campagne, je prends un congé sabbatique. Bref des hauts et des bas. La santé c’est compliqué. 2019 je ne supporte plus ma situation avec le skénan, j’ai baissé seule, de 1000 mg par jour (avec des prises de 100 mg) à des prises de 30 mg (10 fois par jour). Et je baisse encore à des prises de 20 mg toujours en 10 fois. Je suis tout le temps en manque cela dure 2 ans. Je contacte beaucoup de professionnels. « Madame, la méthadone il n’y a que ça ! » Je teste le sirop je supporte pas trop de sucre et d’alcool ! En gélules ça me rend malade aussi ! On me laisse comme ça !
Puis une deuxième fois dans ma vie à 41 ans j’ai ressenti cette chaleur et ce bien-être en moi. Mais cette fois ce n’était pas un produit. Mais des mains d’une thérapeute. J’ai toujours fait des démarches, j’ai toujours demandé de l’aide.  Mais en vain ! J’ai donc voulu tester autre chose que la médecine traditionnelle allopathique qui ne me comprend pas et met trop les personnes dans des cases !

Marie Passarelli

Pour ma part aujourd’hui je lutte contre une addiction au skénan. Au début je pensais que j’étais l’instigatrice de mon addiction. Que je n’avais qu’à arrêter, baisser, que je n’avais pas de volonté. Mais grâce à ces thérapies alternatives et en travaillant sur moi profondément je me suis rendu compte de certaines choses :

  1. Une personne qui se drogue est une personne en grande souffrance. Une personne heureuse ne se détruit pas.
  2. On peut être complètement prisonnier de cette situation au-delà de notre volonté.
  3. Il y a je pense plusieurs degrés d’accroche de l’addiction. Celui où la personne peut, avec de la volonté, s’en sortir seule. Et il y a ceux comme moi pour lesquels l’addiction est profondément inscrite au fond de nous.
  4. L’addiction n’est que la conséquence d’un premier traumatisme. Si on ne traite que l’addiction la personne ne pourra pas guérir. C’est la grande erreur des médecines normales ! Si une personne souffre d’angoisse et qu’elle prend des produits pour calmer ses problèmes et que tu lui enlèves le produit il reste les angoisses et elle replongera illico dans l’addiction !

Chaque thérapeute a été parfaitement informé de ma dépendance et du fait que je réalise ces soins pour y mettre un terme.

En tout cas : s’il y a crise de manque rien ne fonctionne. Ces thérapies servent chacune à leur façon à reconnecter avec la santé vers une guérison.
Ces thérapies sont-elles efficaces ? Réellement ? Ou bien c’est des charlatans qui ont profité de ma détresse ? Et moi j’ai été soignée ou c’est l’effet placebo de l’écoute du thérapeute ?
Ces thérapies fonctionnent doucement au même titre que la pensée positive.
Avez-vous lu le livre ou vu le film Le Secret ?

Marie Passarelli

Thérapies

Hypnose humaniste

Une séance d’hypnose c’est comme une sieste mais conscient. La thérapeute vous place en état de transe. D’avoir fait les premières séances avec une thérapeute m’a aidé pour atteindre facilement la transe quand je pratique l’auto-hypnose.

A la 3ème séance je demande à la thérapeute de m’aider concernant mon problème d’injection. Au bout de 3 heures de séance je ressors de là rincée et détendue. Je n’ai absolument plus envie de m’injecter quoi que ce soit. Mais le manque arrive. J’avale un skénan et comme d’habitude quand j’avale l’effet ne dure pas longtemps, style ce jour là 30 minutes. Le boucan ! Et là je refais une injection à contrecœur !

Coût : 60 € de l’heure

Auto-hypnose

Je pratique beaucoup l’auto-hypnose avec des vidéos YouTube d’Olivier Lockert et de Benjamin Lubszyski. Ces deux hommes ont sauvé bon nombre de mes nuits. J’ai pratiqué 1 an avec les vidéos pour m’endormir. Je fais aussi des séances en journée quand j’ai besoin d’un moment de ressourcement suite à une angoisse, un rhume qui arrive. Il y a beaucoup de thématiques sur la confiance en soi, sur « comment ressourcer son système immunitaire ».

Coût : gratuit

Hypnose régressive

C’est une pratique où l’on va soi-même se plonger dans un état de conscience modifié à la rencontre de notre inconscient, de notre âme.  C’est une pratique spirituelle. Cela parle d’énergies, d’entités, de vies antérieures. J’ai vu beaucoup de vidéos sur cette pratique. Des personnes qui avaient des addictions trouvaient enfin des origines aux addictions. C’est mon compagnon qui réalise cette expérience. Il se prépare plusieurs semaines à l’avance avec des vidéos à suivre quotidiennement pour que le cerveau se mette facilement en transe le jour de la séance. Il a beaucoup apprécié la période de préparation. Il a été surpris de la qualité de la détente que ces séances lui procurent. Le jour de la séance il a vécu des rencontres fortes. La question a été posée à son inconscient sur pourquoi cette addiction et comment en sortir. Il en garde un bien-être. Mais pas de révélation pour nous guider vers l’arrêt de l’injection.

Coût : 180 € la séance de 3 heures par Skype

Reiki

Pour moi le reiki est vraiment ma plus belle rencontre et c’est avec lui que j’ai le plus de résultat. Mais au prix d’un grand investissement personnel. Le reiki récompense à la hauteur de l’investissement. J’ai rencontré le reiki par hasard, c’est ma 1ère découverte des médecines énergétiques.
Je suis dans une période compliquée en 2019 et je craque. Je prends rdv pour une séance de shiatsu. Je me retrouve dans le cabinet zen d’une gentille dame. Elle me dit « vous savez ce qu’est le reiki ? »  Je réponds « oui ». Elle m’explique que non. Je monte sur la table de massage. Je m’allonge, ferme les yeux, elle pose ses mains sur ma tête et là une puissante chaleur divine et tout l’amour du monde entre en moi. Je pars en une seconde en larmes. Elle continue la séance en apposant ses mains et en laissant passer l’énergie universelle de guérison. Pendant toute la séance c’est un feu d’artifice dans ma tête. Je reste scotchée 3 jours après la séance, j’ai compris que Dieu existe et je n’ai plus peur de la mort. Je parle de Dieu comme une énergie créatrice uniquement, sans religion.
J’ai fait plusieurs séances avec Odile, la pauvre, j’ai déversé chez elle tellement de choses négatives que j’avais en moi. Certaines séances ressemblaient plutôt à des exorcismes. Heureusement que cette femme avait beaucoup d’expérience. J’avais l’impression de sortir des défunts de mon ventre. Moi qui souffrais tellement du ventre avant tout ça. Avec le reiki j’ai guéri certaines choses. Surtout ma stéatose (c’est la maladie du foie gras avant la cirrhose) en traitant ma colère.
Comme après mes séances j’étais si bien, j’ai fait tester à toute ma famille.
Le reiki est une technique où l’on peut se former et le must est que l’on peut s’auto-traiter. Apposer nos mains sur nous. Il y a 4 niveaux de formation. Je suis formée au niveau 2, je passe le 3 dans pas longtemps. Je peux ainsi me traiter, ainsi que mes proches, mes animaux, faire des traitements à distance. J’aimerais beaucoup devenir praticienne. Quand je pratique, les personnes sont contentes et moi, cela me fait également du bien.
Le reiki est une pratique très complète et très encadrée dans le déroulement des techniques de soin. Il y a des chants, des méditations…
Et surtout ces magnifiques 5 vidéos :
Juste pour aujourd’hui libère-toi des soucis
Juste pour aujourd’hui libère-toi de la colère
Juste pour aujourd’hui montre de la gratitude
Juste pour aujourd’hui fais ton travail honnêtement
Juste pour aujourd’hui sois bon envers toi-même et les autres
De Mikao Usui
Le reiki n’est pas une secte, personne ne me demande rien, je suis libre. Ma thérapeute ne promet pas de guérison et c’est très honnête de sa part. Elle ne me dit pas de revenir. C’est moi qui choisis de prendre rdv ou pas. Je n’ai fait que 4 séances. Je réalise moi-même mes traitements depuis mes formations. Le reiki était ma 1ère rencontre avec les médecines alternatives. J’aurais sûrement dû ne pas chercher plus loin. Le problème pour moi était le temps. Je pense qu’avec le reiki je peux m’auto-guérir mais le processus est long pour ma part.

Coût : 50 € la séance

Ostéofluidique

Dans ma recherche de guérison je me suis rendu compte à un moment donné que je n’avais pas un problème de volonté. Car ma volonté est très forte. Mais mon addiction je la subis totalement. Je me suis dit que cela était sûrement intergénérationnel. Un héritage familial. Je recherche donc un thérapeute qui traite cela, par chance il y a un salon des médecines douces et une des conférencières aborde le problème. J’assiste à cette intervention, elle parle justement des problèmes d’addiction et dit les traiter avec sa méthode. Je prends rapidement contact avec elle pour entamer un traitement je suis à bout… C’est mon dernier espoir.

J’ai débuté les séances en mai 2020. Toutes les séances se sont faites à distance car elle est à Nîmes et moi à 1000 km. Je m’installe seule dans une pièce allongée. Elle débute la séance avec la méthode Poyet qui réaligne les os. Puis elle travaille sur différentes parties du corps en demande. Dans cette pratique ils pensent que certains organes seraient chargés par certaines souffrances ou émotions. Après la séance qui dure 90 minutes j’ai des phrases à dire aux parties du corps traitées. Car elle déprogramme le mal et le remplace par des choses plus positives. Il y a eu des caps pas évidents à passer et des moments beaucoup plus agréables. La promesse était la guérison. Le résultat aujourd’hui : j’ai gagné en confiance et en respect de moi. Je pense que cela m’a aidée à vaincre l’addiction mentale. Mais le coût financier a été très important. Et les douleurs physiques et mentales ont été trop insoutenables. Elle a même « déprogrammé » ma résistance au produit, ce qui a déclenché de grosses crises de manque. Je prenais mon skénan mais je ne le sentais pas. Après son intervention je dois prendre 100 mg de plus par jour. Je suis allée à ce jour à 13 séances. Les soins sont terminés depuis 2 semaines, je n’ai pas encore assez de recul. Comme la guérison m’était promise j’ai attendu chaque jour qu’elle se manifeste à moi. J’ai scruté chaque cellule de mon corps, chaque émotion. D’avoir autant espéré m’a mangé beaucoup d’énergie. Et quelle déception ! J’ai beaucoup douté de moi de ma motivation à vraiment me sortir de ma situation. J’ai aussi douté à la fin de ma thérapeute. Dans ces pratiques spirituelles on responsabilise l’individu, ce n’est plus la faute de l’autre, des docteurs, de l’Etat… Je suis la seule personne à pouvoir agir sur mon monde !

Coût : 60 € la séance 

Médecine traditionnelle chinoise

J’ai testé la médecine chinoise car leur approche me plaît : dis-moi où tu as mal, je te dirai pourquoi !

J’ai trouvé une thérapeute. C’est également elle qui pratique Access bars. Je parle beaucoup avec elle, les séances se déroulent avec un soin Access puis des massages ou autre… Cela détend quelques jours, mais pas de modification profonde. Par contre elle m’a prescrit de la pharmacopée chinoise pour mon foie qui a très bien fonctionné pour moi. Elle donne aussi de bons conseils sur l’hygiène de vie.

Coût : 60 € la séance 

Access bars

C’est une technique qui vous met vraiment bien ! C’est du magnétisme à l’américaine. Vous êtes sur une table de soin et le thérapeute active avec ses mains certains points du corps. Le ressenti est vraiment un grand moment de détente et les effets durent quelques jours. Access bars c’est une grande famille. On peut également se former facilement. Et il y a des thématiques pour tous les aspects de la vie, santé, argent, sexualité…

Livre de référence : Sois toi et change le monde, Dr Dan Hier.

Coût : 60 € la séance

Naturopathie/homéopathie

Ne pouvant supporter aucun médicament et difficilement les aliments, j’ai consulté une naturopathe. La consultation s’est faite à l’hôpital donc pas de frais, par contre l’ordonnance, elle, n’était pas prise en charge à 100 % ! Plus de 100 € d’homéopathie et de compléments alimentaires pour traiter les angoisses, et remettre mon ventre en état (le pire c’est que mes problèmes viennent « simplement » de mon sous-dosage en skénan et que depuis que j’ai remonté mon dosage je n’ai plus ces troubles, heureusement que j’ai 5 médecins qui me suivent !!!). A ma grande surprise l’homéopathie a fonctionné sur les troubles digestifs et les angoisses. Je pensais que le skénan bloquait l’effet de ces médicaments mais non. Certains compléments alimentaires fonctionnent. Mais d’autres m’ont rendue très malade avec une crise de foie.

Coût : le prix d’une consultation normale prise en charge par la Sécu.

Techniques alternatives

Cohérence cardiaque : c’est un exercice de respiration à faire 3 fois par jour avec l’application Respirelax. Est indiqué pour les angoisses. Cela m’a aidée durant certaines crises.

EFT : c’est une technique de tapotement sur le visage pour se libérer d’angoisses.

Bols tibétains : j’aime leur son, ils aident à la concentration avant de méditer.

Bonhomme allumette : cette technique est de Jacques Martel. On trouve la vidéo sur YouTube. On fait un dessin sur une feuille de soie en bonhomme d’un côté, de l’autre je dessine le skénan et je relie les deux avec des traits et je coupe les liens avec un ciseau. Cela n’a pas réglé mon problème mais si ça aide même à 0,001 % … Je prends !

Marie Passarelli

Lecture des annales Akashiques : dans ma recherche effrénée de guérison j’ai vu des témoignages de personnes qui avaient reçu un soin et une aide à la guérison pendant une séance de lecture.
Les annales Akashiques sont la grande bibliothèque des Âmes, cet endroit est tenu par des êtres de lumière. On y accède seul-e avec un état modifié de conscience acquis avec une longue pratique de la méditation ou avec un thérapeute. J’ai fait cela avec une thérapeute. J’ai préparé mes questions qui sont très simples. Comment sortir de mon addiction et pourquoi rien ne fonctionne pour moi. Bon au lieu de recevoir un soin j’ai eu comme réponse que j’étais venue expérimenter la douleur dans cette incarnation ! J’ai reçu cette réponse avec tristesse ! J’attendais une aide, une solution. Savoir si avec l’ostéofluidique j’étais sur le bon chemin. Apprendre que j’étais en vie pour expérimenter la souffrance… C’est pas top !

J’ai débuté cette écriture il y a quelques mois.

Le bilan à ce jour : au fil des mois je change et évolue. Je pense aujourd’hui que je ne suis pas addict. Je pense que j’ai beaucoup souffert et qu’aucune main n’est jamais venue me secourir quand j’étais jeune. Pourtant un parent, un ami, une passion aurait changé ma vie. Mais comme j’étais fragile le mal est venu à moi. J’ai rapidement accroché car la douleur à l’intérieur était intolérable. Puis les bons docteurs ont fini de me convaincre.

Avec les techniques spirituelles j’ai passé des moments extrêmement compliqués physiquement et psychologiquement. Mais l’avancée à ce jour est importante. Je me suis trouvée, je me respecte enfin.
Je vais encore demander de l’aide à la médecine normale. Mais je sais qu’au pire aujourd’hui j’ai la force de gérer ça seule. Je sais juste que ce sera plus long. Je vais continuer avec l’hypnose régressive et le reiki qui pour moi s’adaptent le mieux à ma personne.

Audrey

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